Ce soir, c’est décidé… j’écris...j’écris sur ces instants passés en confinement, comme des moments absents qui nous ancrent au présent ; te dire que c’est peut-être la meilleure solution, te dire que c’est peut-être aussi un nid de poison…
La lune est bien présente, gibbeuse décroissante, mais quel étrange moment, ce feeling ressenti ! Pourtant rien de méchant ou de bas vibratoire, juste cette sensation d’être dans l’illusoire… c’est parfois bien étrange d’accepter l’inconnue, avoir les yeux bandés et les garder fermés.
Décidée malgré tout d’y voir de la lumière, que l’espoir nous immerge dans une saine atmosphère… je me dis que ça passe peut-être par ces personnes qui voient une lueur dans les trous d’un mur sombre, … donner ma petite larme de peur au colibri… moi j’ai envie d’y croire et rien ne me fera choir.
Alors que me voilà ici et maintenant en train d’écrire les pages de mon futur présent , toute remplie de doutes, et d’un soupçon de peur, mais pleine d’une évidence…la vie est une danse.
Ce soir en demi-teinte, slalom émotionnel, parfois un peu éteinte parfois pleine de fiel ; je caresse l’espoir qu’encore tout est possible ; que notre joie intérieure, rende ce monde paisible, qu’il faut rendre viral, cette flamme dans nos yeux, celle qui te sourit, de cet air malicieux, celle qui te rappelle la beauté de la vie, transformant nos parts d’ombre, en leçon magistrale.
Il faut être vigilent je crois à notre époque, pouvoir écouter l’un sans devoir blesser l’autre, il se passe plein de choses au niveau vibratoire, grand temps de repousser ce vent de désespoir.
C’est un peu ma mission de remettre du sens à des instants très dur, parfois insupportables ; mais ce n’est pas pour rien je crois qu’ils se présentent, ils sont peut-être là pour que l’on prenne conscience que la beauté du monde est constamment changeante et que chaque seconde est déjà la suivante ; alors oui, saisie la et quelque soit son goût, c’est aussi ta seconde, peut-être même avant tout !
J’aimerai qu’on se souvienne de ces instants passés, où exprimant nos peurs derrière le clavier, on espérait toujours que l’harmonie triomphe, jusqu’à ce jour joyeux suivit d’une apostrophe...’…
On parlera à Paul, sans dire du mal de Jacques, on se massera les épaule sans peur et sans reproche, on saura démasquer nos âmes vulnérables, conscient de notre passé, parfois un peu minable.
On enlacera un arbre, on sentira sa force, écoutant ses secrets, caressant sont écorce, nous lui exprimerons notre gratitude féroce.
Namasté belle âme !! on garde espoir, on lâche rien!!
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